Oui, poésie c’est le mot juste.. »tu » (j’ose!)me donnes envie de partir en ballade immédiatement!
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🙂 Merci Julie, il me fait plaisir de t’offrir une balade virtuelle ! 😉
P.S: le tutoiement au Québec est chose courante, TU peux oser sans problème ! 😉
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Bonjour Céline ! J’aime beaucoup la douceur, la sérénité et la simplicité qui se dégage de la première photo. C’est vraiment agréable !
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Bonjour Laurence !
Je suis ravie et touchée que tu apprécies cette 1ère photo, merci de ton passage ici ! 🙂
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jolie poésie ancestrale…
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Merci Moonath ! Je suis curieuse, pourquoi « ancestrale » ? ;-P
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car le « Mikado » est un jeu né il y a très longtemps et que la nature de ta photo est d’une poésie séculaire… je viens de surfer sur Wikipédia : « il semblerait qu’une description du jeu de Mikado apparaisse dans des écrits bouddhistes du Ve siècle av. J.-C.. Il s’agit certainement d’un jeu ancestral, dont la simplicité a permis une expansion dans plusieurs civilisations, avec de multiples déclinaisons.
En 1936, il aurait été introduit aux États-Unis à partir de la Hongrie, et a été souvent appelé pick-up sticks. Le terme de Mikado n’est pas spécifique aux différentes variations existantes du jeu. Mikado était au départ une marque d’un fabricant de jeux. Dans le jeu, le Mikado est le bâton au score le plus élevé en référence à l’empereur du japon ou Tennō (天皇). Ce bâton est souvent orné d’une spirale bleue ou noire. Le jeu bouddhique Chien Tung (en) contient également un bâton appelé « empereur ». Au XVIIIe siècle le pavillon de l’empereur de Chine représentait également une spirale.
Au XIXe siècle, on le retrouve en France sous le nom de jeu de jonchets ou onchets. Les bâtonnets étaient sculptés en ivoire, et portaient à leurs extrémités des symboles similaires à ceux des jeux de cartes (roi, dame, valet, cavalier). Il est vraisemblable que la version du Mikado actuellement pratiquée se soit répandue en Chine à cette époque.
Les jeux actuels sont le plus souvent fabriqués en bois ou en plastique. Outre l’ivoire, il en a également existé en argent.
L’Académie tahitienne définit le mot pana comme un jeu similaire « dans lequel on s’efforce de déplacer de petits bâtonnets les uns après les autres. »
Douce soirée Céline… bises d’ici…
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Oh wow Moonath, merci pour cette information qui manquait à ma culture ! 🙂
P.S: tu viens de gagner le concours du plus long commentaire laissé jusqu’à présent sur mon blog !!! ;-P
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Poésie pure….. tout simplement…
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Merci ! 🙂
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Bonjour, j’aime beaucoup. Plein de poésie là dedans. Par contre j’ai un problème, je suis incapable de décider quelle image je préfère…
Oui, poésie c’est le mot juste.. »tu » (j’ose!)me donnes envie de partir en ballade immédiatement!
🙂 Merci Julie, il me fait plaisir de t’offrir une balade virtuelle ! 😉
P.S: le tutoiement au Québec est chose courante, TU peux oser sans problème ! 😉
Bonjour Céline ! J’aime beaucoup la douceur, la sérénité et la simplicité qui se dégage de la première photo. C’est vraiment agréable !
Bonjour Laurence !
Je suis ravie et touchée que tu apprécies cette 1ère photo, merci de ton passage ici ! 🙂
jolie poésie ancestrale…
Merci Moonath ! Je suis curieuse, pourquoi « ancestrale » ? ;-P
car le « Mikado » est un jeu né il y a très longtemps et que la nature de ta photo est d’une poésie séculaire… je viens de surfer sur Wikipédia : « il semblerait qu’une description du jeu de Mikado apparaisse dans des écrits bouddhistes du Ve siècle av. J.-C.. Il s’agit certainement d’un jeu ancestral, dont la simplicité a permis une expansion dans plusieurs civilisations, avec de multiples déclinaisons.
En 1936, il aurait été introduit aux États-Unis à partir de la Hongrie, et a été souvent appelé pick-up sticks. Le terme de Mikado n’est pas spécifique aux différentes variations existantes du jeu. Mikado était au départ une marque d’un fabricant de jeux. Dans le jeu, le Mikado est le bâton au score le plus élevé en référence à l’empereur du japon ou Tennō (天皇). Ce bâton est souvent orné d’une spirale bleue ou noire. Le jeu bouddhique Chien Tung (en) contient également un bâton appelé « empereur ». Au XVIIIe siècle le pavillon de l’empereur de Chine représentait également une spirale.
Au XIXe siècle, on le retrouve en France sous le nom de jeu de jonchets ou onchets. Les bâtonnets étaient sculptés en ivoire, et portaient à leurs extrémités des symboles similaires à ceux des jeux de cartes (roi, dame, valet, cavalier). Il est vraisemblable que la version du Mikado actuellement pratiquée se soit répandue en Chine à cette époque.
Les jeux actuels sont le plus souvent fabriqués en bois ou en plastique. Outre l’ivoire, il en a également existé en argent.
L’Académie tahitienne définit le mot pana comme un jeu similaire « dans lequel on s’efforce de déplacer de petits bâtonnets les uns après les autres. »
Douce soirée Céline… bises d’ici…
Oh wow Moonath, merci pour cette information qui manquait à ma culture ! 🙂
P.S: tu viens de gagner le concours du plus long commentaire laissé jusqu’à présent sur mon blog !!! ;-P
Poésie pure….. tout simplement…
Merci ! 🙂
Bonjour, j’aime beaucoup. Plein de poésie là dedans. Par contre j’ai un problème, je suis incapable de décider quelle image je préfère…
🙂 Merci !